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Ovadia
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Pour qui aime le passé, qui n'a pas rêvé de remonter ainsi la trame des siècles et retrouver les siens jusque dans les siècles les plus reculés? Mais rares sont ceux qui peuvent faire mieux que dessiner un simple arbre généalogique répertoriant sèchement les dates de vie et de mort, celle des épousailles aussi, sans rien révéler toutefois de la vie concrète des ancêtres. Que frent-ils du temps qui leur fut donné sur cette terre ? On l'ignore généralement, à moins de faire partie d'une famille qui, à titre ou à un autre, a marqué sufsamment son époque pour qu'on en retienne quelque chose. Mais il se peut que ces ancêtres, tout modestes qu'ils furent, aient pris soin de laisser des traces de leur existence à leurs descendants.
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Passions, pour l'honneur de la France
Vincent Lanata
- Ovadia
- J'ai Envie De Vous Dire
- 10 Mai 2024
- 9782363924797
Vincent Lanata un pilote de chasse, un officier, un homme au Service de son pays. Vincent Lanata s'est envolé très jeune de sa Corse natale suivant ses parents vers l'Afrique pour, par la suite après des études supérieures, suivre une trajectoire ascensionnelle qui l'a amené de jeune officier pilote de chasse vers le sommet de la hiérarchie militaire aux fonctions de chef d'état-major de l'armée de l'air. C'est ainsi qu'il a connu la formidable évolution technique des avions sortis de la guerre comme le Vampire de ses débuts au Rafale d'aujourd'hui. Il n'a jamais cessé de rester au contact des réalités sociétales, économiques, politiques, stratégiques mais aussi littéraires et artistiques. Au-delà de sa carrière dans l'armée de l'air il a connu d'autres vies, dans l'industrie, l'appareil politique de l'état, puis l'entreprenariat à la tête de structures de conseil où il apporte son expérience aux entreprises avec toujours la volonté de servir la Nation. Dans « Servir », il nous livre grâce à son merveilleux don de conteur les grands axes de sa vie et son regard d'homme d'expérience sur l'évolution de notre société ainsi que celle du monde.
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Anne´es pieds-noirs est un roman ve´cu par l'auteur entre sa naissance et sa vingtie`me anne´e, c'est-a`-dire l'e´poque ou` se signalent les pre´mices de la guerre d'Alge´rie.
A` l'automne 1968, Millecam retourne au Maroc. C'est successive- ment a` Oran, Rabat, et Casablanca, que Millecam e´crira toutes ses oeuvres.
Pendant ces vingt anne´es, l'enfant, puis l'adolescent, puis l'e´tu- diant verra se de´rouler les pe´ripe´ties qui affectent le monde et sa famille, d'honorables Pied-noirs. En-dec¸a` de la Me´diterrane´e, depuis les bords volcaniques de l'Oranie, il verra se succe´der, sous le Front populaire, les haines gauche-droite, puis « la dro^le de guerre », suivie du de´barquement libe´rateur des G.I. de Roosevelt, l'arrive´e du ge´ne´- ral De Gaulle a` Alger : ces multiples pe´ripe´ties, jointes a` la de´faite de Hitler a` Stalingrad, e´largiront conside´rablement sa vision de l'univers. Il est vrai que la ville d'Oran, pendant quelques trimestres, ne s'est pas borne´e a` figurer le de´cor de la Peste camusienne : le port de cette ville a e´te´ le plus actif de la Plane`te en guerre : on y de´barquait tout le mate´riel qui servait la campagne de Tunisie, puis la campagne d'Italie.
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Animatrice d'ateliers d'écriture depuis une quinzaine d'années, j'ai remarqué avec étonnement que parfois l'école, sensée ouvrir aux élèves les portes du savoir, ferme les fenêtres qui mènent vers l'acte d'écrire en y construisant de terrifiants barrages?: orthographe, grammaire, syntaxe. Ce qui s'avère fatal, c'est le désamour de l'écriture. Et pourtant, chacun sait qu'il faut améliorer son rapport à l'écrit, afin de pouvoir produire des textes de qualité.
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Un pur-sang à rebrousse-poil ; journal de bord
Jean-pierre Millecam
- Ovadia
- 31 Août 2019
- 9782363923332
Juillet 1989. Le temps manipule sa charnière: un siècle chavire sur le précédent, un millénaire sur l'autre. Carole Weisweiller demande à Millecam de faire une conférence intitulée «Jean Cocteau, ligne de tête ou ligne de coeur». Aussitôt le conférencier envisage les fameuses lignes du poète depuis l'époque qu'il qualifie d'esthétique jusqu'à son époque mystique. Mais il va vite virer de bord en faisant un plongeon, de droite et de gauche, vers des horizons qui, à mesure, croisent le propos de la conférence: le cinéma, les Lettres, l'art pictural... tout ce qui lui vient spontanément sous la plume. Cinéma: un festival à Rabat, où il découvre la splendeur des séquences du Moyen-Orient, avec l'acidité critique dont il écrase les dictateurs (Syrie par exemple), le noir et blanc des années 40 à Holywood, les auteurs de chefs d'oeuvre (Raoul Walsh, Ford, Clarence Brown, Michaël Curtiz), la personnalité de Hitchcock, un linéaire dès le générique de ses films. Littérature, évidemment: le raciste Céline, qui mérite parfois une fessée retentissante, puis, toujours grâce à Cocteau, une querelle subtile touchant André Gide. Chemin faisant, il dénoncera l'attitude d'un Ayatolla qui commandite le meurtre de Salman Rushdie, auteur des fameux Versets sataniques. Enfin l'accueil que notre philosophe réserve à Hervé Guibert, atteint du sida, qu'il va présenter à l'un de ses amis guérisseur, célèbre sur la place.
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Il a un style unique. Un talent de fou. Ce graveur, illustrateur, dessinateur, avant-gardiste, lance l'Art nouveau en Grande-Bretagne. Aubrey Beardsley est une comète étincelante dans le ciel gris de Londres dont il va bousculer les codes graphiques et révolutionner l'esthétique. Lorsqu'il meurt à l'âge de 25 ans, il laisse derrière lui une oeuvre sulfureuse, mais surtout des centaines d'illustrations et de dessins. Oublié, Aubrey Beardsley retrouve, dans ce roman, la place qu'il mérite&: celle du génie qu'il a été.
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Ils sont Noirs. Ils vivent en Suisse. Ils se distinguent, les uns des autres, par leur provenance géographique et, forcément, socioculturelle ; ils sont différents par leur niveau de formation, leur statut professionnel ou marital et leurs traits de caractère. Ils ne partagent pas le même schéma d'intégration, une fois en Suisse. Ils n'optent pas pour les mêmes démarches quant à leurs perspectives d'avenir. Leur fibre identitaire et leurs croyances jouent un rôle déterminant dans leur parcours d'exil. Les Noirs font partie des 23 % d'étrangers qui peuplent une Suisse de huit millions d'habitants. Ils connaissent les mêmes conditions d'existence influée, en grande partie, par une perception que toute société a de ses étrangers. La couleur de peau demeure un des éléments essentiels sur laquelle se fonde cette perception. Noirs en Suisse essaie d'en cerner les contours.
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Parvenu au troisième âge et ayant le sentiment, sinon la conviction, d'avoir vécu une dizaine d'existences, j'ai paraît-il réussi. La réussite consiste-t-e1le à atteindre ce que l'on cherchait, à gagner, à être le meilleur dans sa spécialité, à avoir du succès dans un milieu social, une Profession ? C'est bien subjectif, et tout dépend de l'échelle de référence. Je ne crois ni au mérite, ni à la volonté, ni à l'opprobe. Etant donné que je nie le libre arbitre, considérant que nous sommes entraînés dès la naissance par la compulsion du destin, tout ce qui résulte de cet aboutissement ne peut obéir qu'à des forces mystérieuses dont nous commençons à connaître la nature, maie auxquelles nous ne pouvons pas nous soustraire. Ne pouvant entrer dans le système, refusant le jeu de la soumission infamante, par sentimentalité excessive ignorant l'écrasement de l'autre, j'ai voulu faire seul mon chemin. Je devrais dire nans la solitude enrichissante, et non dans l'isolement régressif, celui où vous précipitent ceux qui vous méprisent ou vous négligent. Faire le Bien , m'a-t-on dit , c' est regarder vers Dieu en regardant les autres. S'il m'arrive de le faire, je le dois à l'éducation que j'ai reçue, à l'exemple paternel, à une bonne organisation génétique dont les détails m'échappent, et puis au désir conscient, ou constant, vigilant, de ne pas céder à l'horreur du regret et du remords. Mais il y a dans tout cela, je le dis et le répète, beaucoup de chance, il n'y a entre le criminel et l'honnête homme que l'épaisseur d'un papier timbré.
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Pendant cinquante ans, il brûla les planches de sa présence burlesque, en maître et en orfèvre de l'imitation des grandes voix. Avant tout comédien, il travaille ses personnages du dedans, les griffe et les égratigne avec des mines de chat. Le show-biz ? il n'a même pas tenté de le séduire ! Dans ce livre, il nous livre son théâtre à lui, riche en métamorphoses, dont il doit la révélation à Paris qui lui offrira les trois délices de sa jeunesse : le cinéma, le théâtre et le music-hall. D'ailleurs le berceau de sa vocation fut le boulevard de Clichy, regorgeant de cinémas qu'il fréquentait avec son copain François Truffaut.
Et puis Claude Véga naquit à la scène au printemps 1950, au Liberty's, un cabaret situé place Blanche, où tout était permis sauf la médiocrité. Sa carrière démarra dans le quartier qui l'avait vu grandir pour l'amener très vite à partager l'af?che des plus grands et même d'une géante d'un mètre quarante-sept durant trois mois et à l'Olympia : Piaf !
Dans le présent volume, l'auteur a cherché à conserver la mémoire «?des autres?», les couleurs de ce monde au charme disparu. De courtes scènes sont illustrées au crayon de couleur, à la manière d'une mise en scène au théâtre. Bref, Claude Véga que son public sera heureux de retrouver, va nous parler d'un temps que les moins de vingt ans auront sûrement du plaisir à connaître. -
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Mon défi?: guérir du diabète de type 2 ; uniquement par le sport et l'alimentation
Micha Souris
- Ovadia
- Pour Une Education Therapeutique
- 30 Octobre 2020
- 9782363923189
A l'occasion d'un accident en 2005 je suis diagnostiquée diabétique de type II. Je refuse de prendre en première instance des médicaments. J'erre pendant 10 ans.Et en 2015, je me retrouve encore une fois aux urgences. Là, les médecins s'étonnent du fait que sans suivi médical les résultats des analyses concernant le diabète sont meilleurs que 10 ans auparavant. L'espoir renaît. Je vais tout reprendre à zéro car je ne suis pas nulle, donc je dois arriver à me sortir d'affaire. Après 2 ans de défi à 66 ans et voyant que j'obtiens des résultats positifs. Je décide de témoigner de mon aventure en faisant sourire mes lecteurs, tant les personnes en surpoids que celles atteintes de DTII ou d'autres problèmes de santé dans l'espoir qu'un dialogue basé sur l'échange s'établisse et qu'enfin s'instaure un vrai partenariat entre les soignants et les patients. Qu'enfin nous échappions à la relation paternaliste qui amène tant les soignants que les patients à s'épuiser mutuellement. Et de vous dire qu'il est possible de découvrir de nouveaux plaisirs de nouvelles sensations, renouer le dialogue avec vos organes pour évoluer chacun à notre rythme et vivre dans un corps qui corresponde mieux à vos en vies. L'activité physique est essentielle au maintien de la santé.
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« Après 44 ans passés à la Comédie-Française, je dirai que ces portraits sont un hommage rendu à cette Maison magnifique que j'ai décidé de quitter après y avoir été à la fois très heureux et aussi très malheureux parfois. Ces acteurs, avec qui j'ai eu la chance de travailler, m'ont tout appris, humainement et professionnellement. Ils ont été des amis, parfois des rivaux, je les admire et je les aime » Simon Eine.
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Née sous un piano retrace la vie incroyable de Muza Rubackyte, pianiste concertiste. Dans cette autobiographie, elle se livre avec pudeur sur son enfance avec sa maman et sa tante, ses deux professeurs réputées. Elle évoque avec émotion sa vie d'enfant prodige, adulée. A l'âge de sept ans déjà, elle joua son premier concerto avec orchestre. Enfant unique vivant avec sa mère et sa tante rescapées de la déportation, elles furent probablement sauvées par la magie du piano. Muza nous confie sa vie dure au conservatoire Tchaïkovski à Moscou et sa grande victoire au concours All Union récompensant les meilleurs pianistes en Union Soviétique. Elle gagna aussi le grand concours Liszt à Budapest mais au même temps fut interdite de passeport pendant sept ans. La pianiste nous décrit ses concerts «punition» seule au fin fond de l'URSS. Muza nous raconte sa participation dangereuse à la Révolution lituanienne. Alors que les chars de Gorbatchev se trouvaient à la frontière, que les rafles d'arrestation faisaient rage, Muza quitta momentanément la Lituanie pour étudier la musique française à Paris. Après le choc culturel de l'Ouest, elle gagna le concours Triptyque de la musique française et décida d'habiter entre Vilnius et Paris. Son livre passionnant est truffé d'anecdotes lors de ses innombrables voyages, parfois avec l'envers du décor, souvent drama- tiques mais aussi drôles et touchantes. Pour finir, Muza nous offre ses réflexions captivantes sur sa passion de la musique et sa mission de «passeur».
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