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Prix
First
-
Prof des écoles : Des cahiers à la réalité : Dans les coulisses des premières années d'enseignement
Yvanne Brachotte, Héloïse Weiner
- First
- 29 Août 2024
- 9782412092934
Passer des cahiers à la réalité : toute une histoire !
Plongez dans le quotidien d'Yvanne, jeune professeure des écoles qui partage avec bienveillance son parcours, ses études et ses premières années d'enseignement (qui n'ont pas toujours été de tout repos). Affectés à des postes qu'ils ne choisissent pas directement, les jeunes professeurs diplômés doivent souvent enseigner loin de chez eux ou enchaîner les remplacements de quelques jours, sans stabilité dans leur emploi du temps... Le tout en devant gérer jusqu'à 35 enfants en pleurs ! Heureusement, les élèves sont aussi leurs rayons de soleil !
Dans ce livre, Yvanne s'adresse à tous : parents d'élèves, professeurs en devenir ou titulaires, pour redorer l'image malmenée des maîtres et maîtresses d'école. Elle ouvre ainsi une porte sur le métier d'enseignant, de la théorie à la pratique, avec sincérité, humour et optimisme. -
Ce n'était pas qu'une histoire de poids : Journal d'un mangeur (presque) libéré
Jérémy Gorskie
- First
- 29 Février 2024
- 9782412088548
La confession d'un mangeur (presque) libéré sur le poids de son parcours pondéral.
" Mon copain m'a fait une drôle de remarque au cours d'une balade en ville. " Est-ce que tu veux que je me mette à ta gauche pour que tu puisses te regarder ? '
J'ai ri. Un peu jaune. Gêné par ma possible superficialité. Quelle sera la prochaine évolution physique ? Y en aurait-il seulement une ? Des questions accompagnées d'un mélange d'excitation, de motivation et peut-être un peu de peur, de ne plus progresser. Moi qui pensais avoir fait la paix avec mon corps, je me retrouve encore avec ce genre de préoccupations ? Ça m'a fait penser aux mots d'une de mes patientes : " J'ai l'impression d'être constamment en chantier, c'est épuisant. ' "
Dans ce livre, Jérémy Gorskie partage son parcours pondéral, loin d'être anodin, et confie ses querelles alimentaires : comment elles sont apparues, très tôt dès son enfance, comment, et surtout pourquoi, elles l'ont accompagné jusqu'à l'âge adulte. Il nous offre alors les clés pour comprendre notre rapport à notre propre image corporelle. -
Une fausse couche comme les autres
Sandra Lorenzo, Mathilde Lemiesle
- First
- 10 Février 2022
- 9782412076583
"J'ai deux enfants, j'ai été enceinte trois fois. Comme une femme sur dix, j'ai vécu une fausse couche.
Mettons-nous d'accord dès maintenant, j'ai été enceinte pendant huit semaines. Il n'y avait rien de faux là-dedans. Appelons les fausses couches ce qu'elles sont vraiment, des grossesses arrêtées, des projets d'enfants stoppés net et, parfois, autant de deuils périnataux qu'il faut faire, seul·e·s. Nos fausses couches sont des drames silencieux, des douleurs vécues dans l'ombre.
Le fait qu'une grossesse puisse se terminer aussi précocement est une réalité connue de tous. Et pourtant, nous taisons nos fausses couches consciencieusement. Pourquoi ? De peur d'être jugées, de mettre mal à l'aise, de partager un peu trop ce qu'il se passe dans notre utérus. Il faut passer à autre chose, et vite.
Dans notre société, une femme, c'est une mère en puissance, et une mère, ça met au monde un enfant, ça ne le perd pas en cours de route. Il est temps que cela change." Dans cet ouvrage illustré avec finesse par Mathilde Lemiesle, Sandra Lorenzo livre un témoignage émouvant et parle sans détour d'un sujet encore tabou aujourd'hui. Elle tente également de trouver des réponses aux questions auxquelles elle a dû faire face, en interrogeant des professionnels de santé.
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La petite Claire naît prématurée avec une insuffisance respiratoire majeure. Infirme motrice cérébrale, elle s'accroche pourtant à la vie. Les années défilent et elle devient une jeune fille, puis une jeune femme. Malgré les difficultés qu'elle affronte, Claire se forge un optimisme et un courage à toute épreuve, soutenue indéfectiblement par Anne, sa mère, avec qui elle partage une relation fusionnelle.
Mais à l'âge de trente-deux ans, Claire est emportée par la maladie. Le monde d'Anne s'effondre. Alors qu'elle se demande comment continuer de vivre quand on a perdu son enfant, elle commence à recevoir des signes troublants : la sensation d'une présence à ses côtés, des paroles bienveillantes comme murmurées à son oreille, de multiples synchronicités. Claire se trouve toujours auprès d'elle... Se noue alors un dialogue extraordinaire, un lien invisible qui permettra à Anne de faire son deuil et de garder espoir.
Le témoignage poignant de cette mère qui a vécu la pire des pertes et reçu les plus beaux soutiens résonne comme un véritable hymne à la vie.
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13 février 2019. Ce jour, pour Béatrice, est une seconde naissance. Il marque le moment où son corps est enfin en adéquation avec celle qu'elle est, celle qu'elle a toujours été - une femme.
Née Bruno, elle a vécu sous cette identité jusqu'à sa soixantaine, conjuguant vie professionnelle et vie familiale comme fils, frère, époux, père, puis grand-père. Cependant, d'aussi loin qu'il se souvienne, Bruno a toujours ressenti une forme de mal-être, d'étrangeté à son propre corps, de différence : au fond de lui, il se sent femme, et sait qu'il est né dans le mauvais corps.
Au lendemain de l'opération qui a changé sa vie, Béatrice commence ainsi le récit de ce long cheminement de souffrances, d'interrogations, de doutes, parfois de désespoir, avant de découvrir, grâce à internet, sa dysphorie de genre, puis de prendre la décision de s'engager dans un processus de transition.
Né d'une volonté irrépressible de témoigner, ce texte généreux montre que la transidentité n'est ni un choix ni une lubie. Il offre un aperçu de ce que peuvent être la transidentité et le parcours de vie des personnes trans et de leurs proches, avec l'espoir, une fois l'esprit et le corps réconciliés, de pouvoir enfin vivre, et s'aimer.
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La maladie de Lyme : 1 million de nouveaux cas par an en Europe.
Un immense scandale sanitaire pour les années à venir. Le cri d'alarme et d'espoir d'une malade.
Maria passe ses vacances dans les Vosges depuis sa plus tendre enfance. Elle a l'habitude d'être inspectée tous les jours par ses parents qui lui retirent de nombreuses tiques. Dans l'Est, on a l'habitude et on sait que les tiques peuvent transmettre cette terrible maladie. Pourtant, un jour, il y a 13 ans, elle commence à ressentir des douleurs articulaires et une grande fatigue. Un jour, la sentence tombe : neuroborréliose de type 3, c'est-à-dire un stade avancé de la maladie, stade auquel on ne peut que pallier les symptômes. Depuis, la vie de Maria n'est qu'une longue liste de douleurs et désagréments. Pourtant, elle donne naissance à une petite fille il y a 18 mois, porteuse elle-même de la maladie.
Maria se bat quotidiennement, explore les protocoles les plus novateurs.
Avec la collaboration d'Yves Deloison, journaliste, elle raconte ici son histoire. -
Mamie dans les orties ; le XXe siècle raconte par nos grands-mères
Bouard marion de, Héloïse Pierre, Jeanne Dufief
- First
- 1 Avril 2021
- 9782412062593
Depuis bientôt deux ans, Héloïse et Marion sillonnent la France pour rencontrer des grands-mères qui ont accepté de raconter leur vie et de partager leurs souvenirs. Elles ont fait de ces témoignages un podcast ; nous en faisons un livre.
Car ces histoires, c'est aussi l'Histoire avec un grand « H », celle du XXe siècle et de ses bouleversements : la Deuxième guerre mondiale, Mai 68, la légalisation de l'IVG...
Certaines mamies ont été en avance sur leur temps et ont vécu des choses extraordinaires (que l'on pense à Jeanine, jeune fille au pair en Angleterre en 1953, ou à Colette, « demoiselle du téléphone » dans les années 1960), tandis que d'autres ont parfois connu le pire (Dora a été rescapée d'Auschwitz, Mado, Catherine et Jacqueline ont vécu des avortements clandestins avant 1975).
Parfois bouleversantes, souvent drôles, et toujours émouvantes, ces mamies nous font découvrir une histoire, personnelle et intime, de la France, des femmes et du féminisme.
Dans cet ouvrage coloré, illustré, et documenté, Héloïse et Marion nous livrent en 11 chapitres le témoignage de 11 mamies.
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Un Français sur deux est concerné par le divorce ! Ce livre décrit les comportements, souvent irrationnels, et les crises, parfois violentes, de couples qui se séparent. Sur un ton volontairement positif, Nadia Le Brun et Airy Routier abordent le divorce sous tous ses aspects. Ils ont recueilli de nombreux témoignages, auprès de couples anonymes, mais surtout auprès de personnalités connues, projetées au coeur de l'actualité par leurs divorces : Thierry Gaubert et Hélène de Yougoslavie, Ziad Takedine et Nicola Johnson, ou encore Jêrome Cahuzac et le promoteur Christian Pellerin, qui a fait de la prison sur la base de dénonciations mensongères de son ancienne épouse. C'est que les divorces révèlent aussi la face la plus sombre, la plus mesquine et la plus cupide des hommes et des femmes, en particulier lorsqu'ils se sont beaucoup aimés. Ils révèlent aussi des haines bien dissimulées, la cupidité, la perversité, l'inconséquence et souvent la bêtise. Les auteurs nous racontent, toujours via des témoignages, les divorces les plus incongrus et les plus significatifs, les plus inattendus, les plus chers, les plus ridicules, les plus cruels, les plus drôles et les plus tristes, les plus rapides et les plus romanesques...
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Dictionnaire étonnant des célébrités
Jean-louis Beaucarnot, Frédéric Dumoulin
- First
- 4 Juin 2015
- 9782754070522
Savez-vous que Johnny Hallyday avait un grand-père champion de calcul mental et Dominique Strauss-Kahn un ancêtre tenancier de maison close ? Qu'Alain Delon a un CAP de charcutier et que Jane Birkin a passé les deux premiers mois de sa vie dans une boîte à chaussures posée sur un radiateur ? Que Geneviève de Fontenay, descendante d'une Reine Chaucouillon, est cousine avec Valérie Trierweiler, et que Josiane Balasko s'est fait refaire le nez. par le père de Christian Clavier ?
Qu'ils appartiennent au monde du show-biz, de la politique, du sport ou des affaires, ils représentent la France, dans sa diversité et sa culture, et occupent sans cesse l'actualité. Mais que savez-vous vraiment d'eux ? De leurs origines, de leur famille, de leurs débuts et de leur personnalité ?
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les célébrités - et sur les liens complexes qui les unissent - est réuni dans ce livre, grâce à la complicité de ses auteurs et à leur inlassable travail de recherche. Un livre précis et détaillé, bourré d'anecdotes et de révélations, qui vous permettra de mieux cerner les célébrités et mieux les comprendre, de Gérard Depardieu à Julie Gayet, en passant par Emmanuel Macron et Omar Sy, Vanessa Paradis et Gad Elmaleh, Nagui et Carla Bruni, Louane et François Hollande, et bien d'autres encore !
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19 mars 2012, école Ozar Hatorah à Toulouse. Il est environ 8 heures du matin quand Mohamed Merah gare son scooter dans la rue Jules Dalou. Il s'approche de Jonathan Sandler, accompagné de ses deux fils, Arié et Gabriel, de 3 et 5 ans, et les tue d'une balle dans la tête avant d'abattre la fille du directeur, Myriam Monsonego, 8 ans, à l'intérieur de l'école. Dans sa course meurtrière, il fait quatre victimes et blesse grièvement Bryan Bijaoui, un adolescent de 15 ans, entre la vie et la mort.
Pour la première fois en France, des enfants sont abattus dans une école de la République, créant une situation inédite dans le pays. La campagne présidentielle est suspendue pendant plusieurs jours et le plan vigipirate écarlate est activé dans la région Midi-Pyrénées. Deux ans après les faits, ce livre nous fait revivre la journée du 19 mars 2012, heure par heure, donnant la parole à tous les témoins de cette histoire.
Somme documentaire et testimoniale sur l'un des faits divers les plus tragiques de ces dernières années, cet ouvrage revisite avec pudeur et objectivité les coulisses d'un acte qui interpelle par sa brutalité et sa dimension dramatique.
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Le 12 septembre 1998, le corps d'Alain, 20 ans, est retrouvé au bas du belvédère de Pau, gisant près d'une feuille de palmier et ne portant qu'une seule chaussure. Les enquêteurs concluent au suicide. Mais quand on sait que, quelques mois plus tôt, Emmanuel, 18 ans, a lui aussi été retrouvé au même endroit et dans les mêmes circonstances, on peut se demander s'il ne s'agit pas plutôt de meurtres assortis d'une mise en scène macabre...
Des fiancés de Fontainebleau au dépeceur de la gare de Perpignan, en passant par le double assassinat de la rue de l'Eventail et la disparue de l'Ile Saint-Louis, ce recueil est composé de treize enquêtes criminelles semblables à l'énigme du belvédère de Pau. Autant d'affaires non élucidées où les tueurs jouent au chat et à la souris avec la police sans que celle-ci n'arrive à les démasquer.
Dans tous les cas, les assassins sont, à ce jour, parvenus à échapper à la justice. Qu'ils aient été particulièrement Ingénieux en faisant disparaître le corps de leur victime ou en brouillant les pistes, ou bien qu'ils aient eu de la chance en profitant des errements de l'enquête ou d'un concours de circonstances, ils ont tous, à leur façon, réussi le crime parfait...
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Depuis 2011, Anne Dulioust est médecin généraliste à l'hôpital pénitentiaire de Fresnes. Par choix. Après plusieurs années consacrées à la lutte contre le virus du SIDA, elle a décidé de soigner des malades détenus. Le constat qu'elle dresse pour nous sur ces malades en prison va heurter de nombreuses sensibilités, car exercer la médecine en milieu carcéral est un challenge quotidien. Non par manque de moyens ou de professionnalisme des équipes soignantes, mais parce que ces malades sont des prisonniers et que la justice, aveugle par nature, traite tout un chacun selon la loi en vigueur et non selon la gravité de son état. Anne Dulioust, exemples à l'appui, revient notamment sur la situation des détenus en fin de vie, dont la plupart meurent en prison alors que la Loi Kouchner de 2002 prévoit de leur permettre de finir leur existence libres et en présence de leurs proches. Un livre sans complaisance, qui nous interpelle tous en tant que citoyen pour qu'enfin nous traitions les malades en prison avec dignité et humanité.
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" 25 mars 2005.
Aujourd'hui, je dois faire remplacer ma main droite. je ne suis pas une créature bionique ni un robot androïde. j'ai simplement une main en silicone abîmée. je vais chez mon prothésiste un peu comme on va chez le garagiste pour qu'il change une pièce de bagnole essentielle. je suis ce qu'on appelle communément une "handicapée". j'ai perdu ma main d'origine à l'âge de 17 ans. une amputation très inattendue.
Une erreur médicale, comme on dit. une étourderie terrifiante, plutôt. doublée d'une infection due à une mauvaise asepsie. ça arrive à d'autres, à beaucoup d'autres, et tout ça mérite un coup de gueule. comptez sur moi pour en pousser quelques-uns, le dossier du handicap, en france, est l'un des plus édifiants qui soient. comment aurais-je pu voir la vie en rose à ce moment-là ? aurais-je pu imaginer que, malgré les épreuves, voire grâce à elles, mon handicap deviendrait une force, que j'en ferais une lutte nationale, que je me lancerais dans la vie politique où le sujet restait quasi tabou et que, 15 ans plus tard, je serais une élue combative et heureuse ?"
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« Fin de droits !!! Ça claque, et pas comme une jarretelle.
Je n'ai pas lu la lettre, c'est lui qui me l'a dit.
Il vient de recevoir l'avis de l'Assedic. Le 10 octobre, il ne touchera plus d'indemnités. Rien. Que dale. Nib. Pendant vingt-trois mois, on est un indemnisé.
Et le vingt-quatrième, on n'est plus rien. Et je sens bien que ça fait mal.
À moi aussi. Une petite brûlure dans la poitrine qui m'empêche de parler.
Ça tombe bien, je n'avais pas de mots... » Fin de droits est le récit cru de trois années de la vie d'un couple frappé par le chômage de longue durée de l'un des deux conjoints. Comment rester un couple, une famille, soi-même, face à un tel drame ? Isabelle Marie nous livre avec tact et pudeur un témoignage aussi sincère qu'émouvant sur un des drames de notre époque, le chômage.
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Alors que Jillian, tout juste âgée de dix-huit ans, effectue un stage de grouillot dans une compagnie de théâtre new-yorkaise, elle se voit proposer par une "directrice de casting" une offre difficile à refuser : 20000 dollars pour faire la fête avec un riche homme d'affaires en compagnie d'autres jeunes et jolies Américaines.
Et c'est ainsi que Jillian se retrouve embarquée dans un avion pour Brunei. Elle passera dix-huit mois en compagnie de quarante autres jeunes femmes dans le harem du prince Jefri Bolkiah, le frère cadet du sultan de Brunei - alias l'homme le plus riche du monde... Si c'est sans regret que la jeune femme laisse derrière elle son petit appartement de l'East village pour un opulent palais où elle marche sur des tapis tressés d'or fin, elle va vite découvrir que derrière les lourdes tentures, les courtisanes sont prêtes à tous les coups bas pour attirer l'attention du prince...
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Expérimentant le paiement sécurisé par carte bleue, les échanges de bannières publicitaires, le web marketing, ainsi que de nombreuses innovations techniques, les webmasters X ont été les véritables défricheurs du Net.
Des blondes à gros seins, des petites, des grandes, des esclaves, des soumis(es), des photos de copines, des conseils sur la sexualité, des cours de drague, de curiosités sexuelles et autres délires inénarrables... Il y en a pour tous les goûts, tous les foyers sont virtuellement touchés par cette folie.
Mais qui sont ces fameux webmasters X ? Combien gagnent-ils ? Et où en est le X business aujourd'hui ? Au travers de sa propre expérience, MilukMan vous dit tout ! Détachez vos ceintures et laissez-vous porter par la véritable histoire des webmasters X français, ces aventuriers du Net qui nourrissent les fantasmes de toute une nation : la Gaule si bien nommée !
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Ne pas avoir ses règles à 15 ans, c est gênant. À 17, c est pesant. À 19, c est inquiétant. C est pourquoi Stéphanie décide un jour de consulter pour comprendre et presser un peu cette puberté tardive. Mais le diagnostic est sans appel : elle souffre d une grave malformation de l utérus. Le col ne s est jamais formé. Pourrais-je avoir des enfants ? On n ose pas lui répondre que non. Ce sera difficile, lui dit-on.
Pendant dix ans, Stéphanie fait tout ce qui est en son pouvoir, consultant de grands professeurs et subissant toutes les opérations nécessaires, même les plus douloureuses. Lorsqu elle épouse Damien, le couple redouble d efforts : piqûres, traitements, fécondations in vitro, procréations médicalement assistées, inséminations artificielles à répétition. En vain. Stéphanie continue pourtant de penser qu il n y a pas de raison qu elle ne devienne pas mère. C est en feuilletant un magazine féminin que la vérité lui est dévoilée. Son désespoir prend la forme d un article consacré aux ravages du Distilbène. Stéphanie n a jamais entendu parler de cette hormone de synthèse prescrite aux femmes enceintes de 1950 à 1977 permettant de limiter les fausses couches, molécule qui aurait rendu toute une génération d hommes et de femmes stériles. Pourtant, sa mère en a pris, sans connaître les risques du traitement.
Se résigner ? Certainement pas ! Stéphanie fait des recherches et découvre que, si la question est taboue, 160 000 personnes seraient concernées. Elle décide alors de créer une association et s étonne de voir rapidement les membres affluer. Le combat ne fait que commencer...
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« Si les femmes sont de loin moins criminelles que les hommes - elles ne représentent que 10 % environ de la criminalité générale -, elles n'en restent pas moins cruelles et déterminées. Lorsqu'elles décident de passer à l'acte, rien n'arrête leur imagination. Elles sont capables non seulement d'empoisonner - ce qui est leur arme millénaire -, mais également de poignarder, d'étrangler ou de fusiller avant de découper le corps et de le répartir dans ces grands sacs-poubelle noirs devenus les ossuaires de notre époque.
Si la violence masculine a généralement pour vecteur l'alcool ou l'humiliation, celle de la femme a pour origine, la plupart du temps, la passion ou le rejet de celle-ci. Elle tue par amour, pour s'emparer d'un homme ou d'une femme. Elle est capable de massacrer pour se débarrasser de celui ou de celle qui la gêne. Elle peut, durant des mois et parfois des années, ruminer un projet criminel alors que l'homme n'a souvent pas la patience d'attendre.
Durant des centaines d'heures d'audience, dans toutes les cours d'assises de France, j'ai tenté de percer le secret de ces femmes, dont certaines, aujourd'hui libérées, pourraient lire ce que j'ai cru comprendre de leur geste de mort. Parmi tous ces visages que j'ai observés et que je n'oublierai jamais, j'ai choisi ces récits qui racontent leurs crimes et leurs mensonges. Mais aussi mon horreur, parfois ma compassion... »
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"Puis-je dire qu'à mon âge j'ai déjà vécu tout ce que la vie pouvait m'offrir ? J'ai traversé tant d'épreuves et de situations périlleuses qu'il me semble que plus rien ne peut me surprendre. J'ai connu la guerre, l'exil des boat people, les camps de réfugiés, l'orphelinat dans un pays étranger, avant que de solides études me fassent voyager dans le monde entier. Alors, je ne me plains pas puisque la vie m'a finalement gâté. Je me dis souvent qu'un ange gardien m'accompagne. Il m'arrive de penser que s'il n'y avait pas eu la révolution communiste et sa victoire, je serais sans doute resté à Saigon dans le quartier de Cholon, où je suis né. Dans le meilleur des cas, j'aurais fait de courtes études, peut-être jusqu'au baccalauréat, j'aurais ensuite fondé une famille et vécu de petits boulots. Dans le pire des cas, je serais resté un paysan illettré et aurais repris la boutique de mes parents dans un village au milieu des rizières.
Mon destin en a décidé autrement et je me lève tous les matins en me disant que je suis un homme heureux. Ma plus belle prouesse est d'avoir réussi à faire venir mes parents, ma soeur et mon frère auprès de moi à Paris. Le parcours aura été long et semé d'embûches, et j'ai eu envie de raconter cette histoire ordinaire et exceptionnelle à la fois. La voici.
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De mensonges en manipulations, de complaisances en lâchetés, notre intelligence collective se délite jour après jour. Ne cherchons pas ailleurs qu'en nous-mêmes les responsables de cette décadence intellectuelle : nous en sommes tous coupables. Nous sommes devenus cons parce que nous avons renoncé à cultiver notre intelligence commune comme on cultive un champ pour nourrir les siens. Oubliés le questionnement ferme, le raisonnement rigoureux, la réfutation exigeante ; toutes activités tenues pour ringardes et terriblement ennuyeuses. Car c'est bien de cela qu'il s'agit : nous sommes devenus - parents, enseignants, politiques - incapables de mener les batailles nécessaires : celles dont on accepte de ne pas voir l'issue, en étant heureux que d'autres - nos élèves, nos enfants, nos rivaux d'aujourd'hui - les poursuivent parce qu'elles sont essentielles. Du " à quoi bon ! " au " après moi le déluge ! " il n'y a qu'un pas que nous franchissons chaque jour allégrement en nous vautrant dans la prévisibilité d'un audiovisuel débile, en nous abandonnant à l'aléatoire dangereux du web, en acceptant que notre école devienne une machine de reproduction sociale, en tolérant que nos politiques insultent quotidiennement notre intelligence, en laissant enfin abîmer le sacré jusqu'à en faire un masque hideux. Et nous livrons ainsi nos propres enfants à l'inculture et à la crédulité. A ceux qui confient trop tôt leurs touts-petits à des structures institutionnelles sans se poser la question de l'attachement ; à ceux qui acceptent que des jeunes soient livrés à un monde dangereux sans qu'on leur ait donné la formation intellectuelle nécessaire pour en dénoncer les mensonges ; à ceux qui, cachés derrière leur écran, ont renoncé à regarder l'Autre dans les yeux ; à ceux que l'inconnu et le différent, exaspèrent et terrorisent ; à tous ceux enfin qui souillent l'idée même du spirituel à force d'hypocrisie et de bêtise, à tous ce livre est dédié !
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" Les faits sont irréfutables et les chiffres accablants : la France vieillit. Les plus de 60 ans, qui sont 15 millions aujourd'hui, seront 20 millions dès 2030, soit un tiers des Français. Dans les années 1980, au moment du départ à la retraite, il nous restait en moyenne 7 années à vivre. Nous en sommes aujourd'hui à près de 25 années, soit une belle 3 e mi-temps en perspective. Ce vieillissement de la population française se double d'une évolution économique et sociologique forte : les " papy-boomers " arrivent à l'âge de la retraite avec beaucoup plus de moyens financiers et de nouvelles attentes quant à leur confort de vie. L'économie des " cheveux blancs " (ou silver economy, en référence à la chevelure argentée des seniors) est donc un véritable enjeu pour la société et pour les sociétés. A l'ère de l'" Homo senectus ", l'enjeu n'est donc pas tant de rajouter des années à la vie, mais de la vie aux années. Pour vivre longtemps, vivons heureux ! Mon sujet ne concerne donc pas les maisons de retraite, le montant des pensions ou l'état de santé de nos aînés. Il s'agit pour moi de réfléchir à cette chance et opportunité historique de bien traiter et bien servir nos seniors. Si nous nous y prenons bien, et si nous savons accompagner adroitement cette évolution, il est probable que toute la société en bénéficiera. Pour eux, la vieillesse n'a rien à voir avec le grand âge synonyme de la perte d'autonomie. " Ce sont mes enfants qui me donnent parfois l'impression d'être vieux ! "."