Le rapport sur les inégalités mondiales 2022 propose une radiographie inédite des inégalités mondiales, avec la présentation des dernières données sur les écarts de revenu et de patrimoine à travers le monde, ainsi que de nouveaux résultats sur les injustices liées au genre et les inégalités environnementales. Ce travail, mené par une équipe de chercheurs franco-américains et reposant sur les efforts d'une centaine d'économistes à travers le monde, démontre avec force que les inégalités extrêmes qui caractérisent nombre de nos sociétés sont le résultat de choix politiques et n'ont rien d'une fatalité.
« Lisez ce rapport, faites-en connaître les conclusions, trouvez des moyens d'agir en conséquence ! » Abhijit Banerjee et Esther Duflo « Le Rapport sur les inégalités mondiales rassemble les données les plus récentes sur les inégalités de revenus et de richesse et présente des conclusions nouvelles concernant l'inégalité entre les sexes et les injustices environnementales. Notre étude révèle que l'extrême inégalité n'est pas une fatalité : c'est un choix politique. » Lucas Chancel « S'il ressort un enseignement de l'abondance de données présentées dans ce rapport, c'est que les sociétés humaines ont la possibilité de choisir le degré d'inégalité généré par leurs politiques publiques et sociales. De ce point de vue, ce rapport est à la fois une carte du monde et une feuille de route. » Emmanuel Saez « Les femmes portent la moitié du ciel, mais, comme nous le montrons dans ce rapport, elles ne touchent qu'un tiers des revenus dans le monde. Il est possible et souhaitable de faire bien davantage pour accélérer le progrès vers l'égalité des sexes. » Theresa Neef et Anne-Sophie Robilliard « Le Rapport sur les inégalités mondiales répond à un besoin démocratique essentiel : décrire de manière rigoureuse l'évolution des inégalités dans toutes leurs dimensions. Il constitue une ressource précieuse pour les étudiants, journalistes, responsables politiques et sociétés civiles du monde entier. » Gabriel Zucman « L'histoire nous enseigne que les élites se battent pour maintenir un niveau extrême d'inégalité, mais il existe en définitive un mouvement de long terme vers l'égalité, au moins depuis la fin du xviiie siècle, et il se poursuivra. » Thomas Piketty
Différents dispositifs permettent d'éviter l'ouverture d'une procédure collective. Qu'il s'agisse des mécanismes de prévention par lesquels on traite de manière amiable et confidentielle les difficultés d'une entreprise (mandat ad hoc, conciliation), ou de la nouvelle procédure de rétablissement professionnel permettant l'effacement des dettes des entrepreneurs impécunieux et surendettés, ils font l'objet dans ce manuel d'une présentation claire et exhaustive.
D'autres permettent de traiter judiciairement les difficultés d'une entreprise. Après y avoir distingué un corps de règles communes (saisie globale et collective des actifs du débiteur, gel de son passif, soumission de ses créanciers à une discipline collective, mise en oeuvre de moyens exorbitant pour assurer le maintien de l'activité), ils sont ici étudiés les uns après les autres (procédure de sauvegarde, de redressement judiciaire, de liquidation judiciaire).
Sylvain Chatry: Maître de conférences HDR en Droit privé à l'Université de Perpignan Via Domitia, ancien directeur du DU Propriété intellectuelle de l'Université de Nantes, Membre du Centre de droit économique et du développement (CDED, EA 4216), membre associé de l'Institut de recherche en droit privé (IRP EA 1166).
Agnès Robin: Maître de conférences HDR à l'Université de Montpellier, directrice adjointe du Laboratoire Innovation, Communication et Marché (LICeM), dirigeante du Master Droit de la propriété intellectuelle et du numérique de la Faculté de Droit de Montpellier et est responsable du DU Scientific Data Management, coordinatrice de la plateforme interdisciplinaire de recherche de la MSH SUD « Commondata. Les données de la recherche, des communs scientifiques ? ».
Michel Vivant: Professeur émérite à l'Institut d'Études Politiques de Paris, Docteur honoris causa de l'Université de Heidelberg.
André Lucas: André Lucas est professeur à l'Université de Nantes, où il enseigne le droit civil et le droit de la propriété intellectuelle. Il est aussi responsable du master de propriété intellectuelle de cette université. Depuis sa thèse de doctorat, publiée en 1975, il s'est spécialisé dans l'adaptation du droit de la propriété intellectuelle, et surtout du droit d'auteur, aux nouvelles techniques. Il est membre du groupe d'experts en propriété intellectuelle auprès de la Commission européenne (DG Marché intérieur) et du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (France). Il a notamment publié le Traité de la propriété littéraire et artistique (en collaboration avec H.-J. Lucas), Litec, 2e éd., 2001, et Droit de l'informatique et de l'Internet (en collaboration avec J. Devèze et J. Frayssinet), PUF, Thémis, 2e éd., 2001.
« L'objectif du Rapport sur les inégalités mondiales 2018 est de contribuer à un débat mondial mieux informé sur les inégalités économiques en apportant à la discussion publique les données les plus récentes et les plus complètes. L'inégalité économique est un phénomène complexe et multidimensionnel, et dans une certaine mesure inévitable. Néanmoins, nous avons la conviction que si l'aggravation des inégalités ne fait pas l'objet d'un suivi et de remèdes efficaces, elle pourrait conduire à toutes sortes de catastrophes politiques, économiques et sociales ».
Des données exclusives et des analyses essentielles, reposant sur une méthode novatrice qui combine de manière systématique et transparente toutes les sources de données à notre disposition : revenus et patrimoines totaux estimés dans les comptabilités nationales (y compris des estimations sur les avoirs offshore) ; enquêtes déclaratives sur le revenu et le patrimoine des ménages ; données fiscales issues de l'impôt sur le revenu ; données fiscales et administratives sur les successions et les patrimoines ; et classements des grandes fortunes.
Le Rapport sur les inégalités mondiales repose sur le travail collaboratif de plus de 100 chercheurs répartis dans près de 70 pays sur tous les continents. Il est coordonné par Lucas Chancel, Facundo Alvaredo, Thomas Piketty, Emmanuel Saez et Gabriel Zucman.
Ce manuel constitue une introduction approfondie au droit commercial, dont il permet de maîtriser les notions fondamentales, de façon à comprendre comment le droit appréhende et encadre l'activité économique et permet aux entreprises d'évoluer dans un environnement aussi propice que possible à leur développement. En dix leçons sont successivement représentés : le cadre général du droit commercial, la liberté d'entreprendre, la notion d'acte de commerce et de commerçant, la réglementation de la concurrence, le fonds de commerce, le bail commercial et les contrats de distribution, la réglementation des pratiques commerciales ainsi que le règlement des litiges commerciaux et des difficultés des entreprises
Le recours à l'appel d'offres n'est pas, et n'a jamais été, l'apanage des personnes publiques. Parce que la mise en concurrence de cocontractants potentiels permet d'obtenir le meilleur prix, les personnes privées le pratiquent volontairement pour la réalisation de nombreuses opérations contractuelles: construction ou vente immobilière, cession de droits sociaux, acquisition de produits et de prestations de service, etc. Familière des praticiens, cette figure du paysage pré-contractuel est négligée par la doctrine. L'objet de cette étude est de présenter une analyse juridique d'ensemble de l'appel d'offres privé.Sur un plan notionnel, l'appel d'offres privé est susceptible de deux acceptions. Dans la ligne directe de son appellation, il désigne une invitation à soumettre des offres. Il s'agit d'un type de proposition de contracter à part entière, distinct des propositions de contracter traditionnelles que sont l'offre et l'invitation à entrer en pourparlers. À le concevoir ensuite comme une procédure de mise en concurrence de cocontractants potentiels pour la conclusion d'un contrat définitif, l'appel d'offres privé donne naissance à un avant-contrat entre son organisateur et ses participants que l'on ne peut ramener aux catégories d'avant-contrats que connaît le droit positif.En ce qui concerne le régime, la qualification de l'appel d'offres en avant-contrat permet d'assujettir à la procédure et à ses règles son organisateur comme l'ensemble de ses participants. Ainsi, les remèdes à l'inexécution contractuelle tels que la responsabilité contractuelle ou l'exécution forcée pourront être utilement mobilisés afin de corriger les comportements déloyaux auxquels pourraient se livrer les protagonistes de la procédure à l'occasion de son déroulementEn raison des éclairages apportés en droit des obligations et en droit de la concurrence, l'ouvrage intéressera étudiants, enseignants et chercheurs. Les praticiens y trouveront des solutions concrètes aux difficultés qu'ils rencontrent dans l'organisation ou la participation à un appel d'offres privé.Avec une préface de Nicolas Ferrier
Ouvrage de référence depuis plus de 30 ans, Les 12 points clés développent les principales dispositions législatives et réglementaires concernant les personnels des établissements publics sanitaires, sociaux et médico-sociaux.
Cette 15e édition intègre de nombreux textes, pris en compte jusqu'au 30 juin 2021, mettant en oeuvre la loi du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique :
Les lignes directrices de gestion et l'évolution des attributions des commissions administratives paritaires la création d'une procédure de rupture conventionnelle les nouvelles règles concernant le congé parental et la disponibilité pour élever un enfant le congé pour invalidité temporaire imputable au service l'appréciation de la valeur professionnelle des fonctionnaires en lien avec la suppression de la notation l'accompagnement des personnels en cas de suppression d'emploi l'institution d'une période de préparation au reclassement au profit des fonctionnaires hospitaliers Destiné aux praticiens de la GRH (DRH, cadres, représentants du personnel), aux étudiants préparant les concours de la FPH et à tous ceux qui veulent connaître le cadre juridique de la gestion des personnels hospitaliers, cet ouvrage est indispensable.
Ce manuel constitue une introduction approfondie au droit commercial, dont il permet de maîtriser les notions fondamentales, de façon à comprendre comment le droit appréhende et encadre l'activité économique et permet aux entreprises d'évoluer dans un environnement aussi propice que possible à leur développement.
En dix leçons sont successivement représentés : le cadre général du droit commercial, la liberté d'entreprendre, la notion d'acte de commerce et de commerçant, la réglementation de la concurrence, le fonds de commerce, le bail commercial et les contrats de distribution, la réglementation des pratiques commerciales ainsi que le règlement des litiges commerciaux et des difficultés des entreprises.
Par les représentations qu'elle véhicule et les solutions qu'elle encourage, l'édification d'une théorie générale n'est jamais neutre au plan axiologique. Sa construction repose certes sur la connaissance du droit positif de lege lata, mais la mise en ordre qui en résulte demeure quant à elle intimement liée aux perceptions et aux convictions de l'interprète. C'est en ce sens que doit être abordée la question de l'apport du droit du travail à la théorie générale de l'acte juridique. La présente étude met en évidence le caractère protéiforme du phénomène envisagé, sans occulter les situations où la discipline fait davantage figure de contre modèle que de véritable source d'inspiration. Adoptant un point de vue prospectif, cette recherche met en évidence les aspects de droit du travail susceptibles d'encourager la promotion d'une théorie de l'acte juridique marquée par le pluralisme. La matière contribue ainsi à souligner la variété des conditions dans lesquelles se forme la volonté de s'engager, tout comme la diversité de ses modes d'expression. Elle témoigne également d'une capacité certaine à traduire sur le terrain du Droit, afin de mieux les appréhender, l'altérité des rapports de force et la mutabilité des données factuelles qui accompagnent l'exécution des actes juridiques.
La propriété littéraire et artistique, qui inclut le droit d'auteur et les droits dits voisins du droit d'auteur (accordés notamment aux artistes-interprètes et aux producteurs), sollicite de plus en plus l'attention du législateur et de la jurisprudence, y compris celle, abondante, de la Cour de justice de l'Union européenne. Elle donne lieu à des controverses passionnées, comme on le voit aujourd'hui à propos des réactions qu'ont suscitées les propositions publiées par la Commission européenne en septembre 2016.Le présent traité veut l'analyser de manière exhaustive, y compris dans l'ordre international, en éclairant les débats actuels et en tâchant, au passage, de suggérer des solutions d'équilibre.Il est à jour, dans sa 5e édition, de tous les développements législatifs et jurisprudentiels jusqu'au Ier octobre 2017.Il s'adresse aux universitaires, aux avocats, aux magistrats et aux praticiens du secteur des industries culturelles.
Le droit de la propriété littéraire et artistique est en constant renouvellement (cf. loi Hadopi). Cela tient à l'impact des nouvelles technologies, des supports originaux qu'elles créent et aux enjeux économiques qui s'y attachent.
Cet ouvrage livre les clés pour comprendre l'évolution de la matière et en présente les traits essentiels.
Il définit les principales notions que sont l'oeuvre, l'auteur, leurs droits ainsi que les droits voisins, propres aux artistes-interprètes, aux producteurs audio et vidéo et aux chaînes de télévision.
Il met l'accent sur les spécificités du régime français comme les prérogatives que confère le droit moral de l'artiste sur l'oeuvre et le système de gestion collective des droits.
Aux confluents de principes environnementaux classiques et émergents, l'obligation de compenser les dommages causés à l'environnement tente d'accommoder l'inconciliable : protection de l'environnement et artificialisation de la nature. Apparues en 1976 avec la création de l'étude d'impact, les mesures de compensation questionnent l'ensemble des acteurs. Issues de polices administratives, elles s'assimilent à un mode de réparation par leur finalité : remédier en nature aux atteintes causées aux milieux naturels. Toutefois, cette finalité est desservie par les indéterminations juridiques qui résident tant dans la pluralité juridique des compensations que dans les défaillances pratiques lors de leur mise en oeuvre. Se crée alors un hiatus entre les décisions prises fondées sur une compensation idéalisée, à savoir un instrument de lutte contre la perte de biodiversité, et la réalité des mesures le plus souvent sans équivalence écologique, précaires voire inexistantes. C'est pourquoi il convient d'y mettre fin grâce à une caractérisation juridique de ce que devrait être la compensation écologique. Cette tentative de définition et d'harmonisation des régimes visant à en garantir la nature curative s'accompagne d'une exploration des perspectives d'avenir de la compensation écologique notamment sous l'angle d'une mutualisation des sites de compensation.
Ouvrage financé par Voies navigables de France section Est. Prix de thèse de la Société française pour le droit de l'Environnement (SFDE). Prix de thèse du Groupement de recherche sur les institutions et le droit de l'Aménagement, de l'Urbanisme et de l'Habitat (GRIDAUH). Prix de thèse de la Société des amis des universités de l'Académie de Strasbourg, prix parrainé par l'Association parlementaire européenne avec le soutien du Parlement européen
La réforme de l'examen d'accès aux Écoles de formation des Barreaux issue du décret et de l'arrêté du 17 octobre 2016 précise que le grand oral d'admission, qui porte toujours sur un sujet relatif à la protection des libertés et des droits fondamentaux, doit désormais permettre d'apprécier, notamment, la culture juridique du candidat.
Ce Précis saisit l'occasion qu'offre cette référence expresse à la culture juridique dans le programme officiel d'un examen, et non des moindres, pour présenter, par le biais d'entrées particulières allant de l'ordonnancement des sources du droit à l'épistémologie juridique, en passant par l'histoire et la comparaison des systèmes juridiques, la personne et le patrimoine, la doctrine et les rapports entre droit et littérature - et d'autres encore -, des réflexions destinées à illustrer, nourrir ou éclairer ce qui fait la culture juridique. La thématique est aussi vaste qu'incertaine. Il reste que, par-delà un amoncellement étouffant de règles et de jugements et par-delà la technicité toujours plus prégnante de la pratique et de l'enseignement juridiques, le droit est, avant tout, une culture ; plus exactement, une partie de la culture - ces valeurs, ces liens, ces créations, ces usages, ces idées ou ces façons d'être et de faire qui fondent et tiennent toute société humaine.
Les droits et libertés fondamentaux ne sont évidemment pas oubliés. Leurs déclinaisons sont également conçues dans la perspective de leur dimension culturelle. Comme l'ont bien perçu les auteurs de la récente réforme de l'examen d'accès aux Écoles de formation des Barreaux, ces instruments se prêtent particulièrement à l'évocation, donc à la conscience et à la découverte de la dimension, sinon de la nature hautement culturelle des règles et des jugements, points de rencontre entre les valeurs, sur lesquelles tout projet social se noue, et les intérêts, par lesquels toute action humaine se détermine.
L'ouvrage permettra aux candidats autant qu'aux membres des jurys de l'examen d'accès aux Écoles de formation des Barreaux de se préparer de la meilleure façon à l'épreuve sensiblement enrichie du grand oral dudit examen. Il offre également à tout lecteur une riche et belle démonstration de ce que, ô combien, le droit est avant tout culture.
Sous la direction de François-Xavier Lucas et Thierry Revet. Avec les contributions de : Mathias Audit, Bernard Beignier, Jean-Sylvestre Bergé, Xavier Bioy, Philippe Blachèr, Pierre Bonin, Pierre Brunet, Nicolas Dissaux, Emmanuel Dreyer, William Dross, Philippe Dupichot, Xavier Dupré de Boulois, Muriel Fabre-Magnan, Yves-Marie Laithier, Grégoire Loiseau, Thierry Le Bars, Anne-Marie Le Pourhiet, François-Xavier Lucas, Denis Mazeaud, Étienne Pataut, Laurent Pfister, Marc Pichard, Louis-Frédéric Pignarre, Jean-Emmanuel Ray, Jean-François Renucci, Thierry Revet, Jean-Christophe Saint-Pau, Jean-Baptiste Seube, Carbon de Seze, David Soldini, Yves Strickler, Nicolas Warembourg.
Acheter, consommer, c'est devenu si facile, si rapide, que le consommateur mesure rarement à quoi il s'engage en approuvant des "Conditions générales de vente" qu'il a à peine parcourues. Cet ouvrage fait donc le point sur les droits et devoirs du consommateur, sur le cadre juridique des différentes situations de consommation, et indique les démarches à entreprendre lorsqu'on est victime de publicité commerciale trompeuse ou de vente forcée.
Depuis 2015, les droits culturels sont inscrits dans la loi n° 2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation de la République (NOTRe) et la loi n° 2016-925 du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine (LCAP), concrétisant les engagements de la France en matière de droits humains fondamentaux.
Cet ouvrage rappelle les principes de ces engagements. Il précise les valeurs et les enjeux de liberté et de dignité sur lesquels reposent les droits cultuels des personnes. Il détaille les conditions à remplir pour que les politiques culturelles de l'État et des collectivités respectent pleinement la législation en vigueur. Ces précisions permettent d'éclairer les nombreux débats qui ont entouré les droits culturels : elles apportent des réponses argumentées aux détracteurs, sans clore les discussions sur la mise au travail des droits culturels, dans l'action de terrain. L'ouvrage présente plusieurs expérimentations où les politiques de droits culturels s'élaborent avec un souci particulier de coconstruction des actions et des évaluations.
Il constitue ainsi un premier guide pour engager la réflexion sur l'application de la législation des droits culturels.
Transporter - Douanes et échanges internationaux > Un panorama complet des problématiques liées à la douane dans le domaine du transport international.
> Un outil indispensable pour comprendre et agir de façon éclairée selon vos besoins et pour être toujours plus compétitif !
> De nombreux exemples, conseils et documents pour travailler de façon concrète.
> SommaireIntroductionPrésentation de la DouaneEnvironnement règlementaireNotion de territoire et de fluxActeurs du dédouanementNotion de dette douanièreProcédures de dédouanementLa MarchandiseRégimes douaniersDocuments douaniers et dématérialisationSûreté, sécurité et fluidité des échanges internationauxRécapitulatif des étapes
Référence depuis 30 ans, cet ouvrage présente Les principales dispositions Législatives, réglementaires et décisions jurisprudentielles ayant trait à la carrière du fonctionnaire hospitalier, mais aussi aux contractuels, ainsi qu'à la déontologie, aux droits et obligations des fonctionnaires.
Cette 14e édition intègre notamment :
- l'article 115 de la loi de finances pour 2018 qui réintroduit Le jour de carence dans la fonction publique à partir du 1er janvier 2018;
- le décret du 14 novembre 2017 qui fixe les conditions et les modalités de mise en oeuvre du vote électronique par Internet pour le renouvellement des instances de la fonction publique;
- le décret du 9 octobre 2018 créant un dispositif de don de jours de repos non pris au bénéfice des proches aidants de personnes en perte d'autonomie ou présentant un handicap;
- la loi du 22 décembre 2018 de financement de la sécurité sociale pour 2019 prévoyant l'exonération des cotisations salariales sur les heures supplémentaires;
- la loi du 24 décembre 2018 portant mesures d'urgence économiques et sociales prévoyant l'exonération de l'impôt sur le revenu sur les heures supplémentaires.
Elle prend également en compte la révision de la totalité des statuts particuliers, notamment dans Le cadre de la modernisation des parcours professionnels, des carrières et des rémunérations.
Destiné aux praticiens de la GRH (DRH, cadres, organisations syndicales), aux étudiants préparant les concours d'accès à la direction des établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux et à tous ceux qui veulent comprendre le cadre juridique de la gestion des fonctionnaires hospitaliers et des contractuels, cet ouvrage se révèle indispensable.
Composante essentielle de la capacité d'innovation d'un pays, la coopération public-privé peine en France à s'ancrer dans les pratiques. Malgré les nombreux dispositifs créés ces dernières décennies pour faire tomber les cloisons entre la recherche publique et les entreprises, la coopération entre ces deux mondes peut encore progresser, en regard de ce que l'on observe dans les pays les mieux placés dans la course mondiale à l'innovation.Les auteurs de cet ouvrage commencent donc par dresser un tableau objectivé de cette situation, avant de proposer quelques pistes pour y remédier. Sans révolutionner le paysage législatif ni augmenter les dépenses publiques, ces propositions sont le fruit de nombreux entretiens menés sur le terrain et reposent sur deux piliers : le rapprochement culturel entre les mondes académique et socio-économique d'une part, et le renforcement de la gestion de la valorisation de la recherche d'autre part.En plus d'éclairer les lecteurs sur le fonctionnement et les dispositifs de collaboration entre recherche publique et privée, cet ouvrage apporte des pistes de réflexion et d'action utiles pour les décideurs publics, les entreprises et les acteurs de la recherche.
Cet ouvrage associe des expériences de terrain et des enseignements en vue de créer les conditions de possibilité de l'entrepreneuriat en contexte camerounais. C'est en ce sens que, contrairement aux affirmations selon lesquelles l'idée fonde l'acte de création d'entreprise, l'auteur montre que les besoins, suscitent l'idée de création d'entreprise. De ce fait, le besoin de se nourrir suscite l'idée d'un restaurant tout comme le besoin de se loger suscite l'idée d'un hôtel, etc. Pour y parvenir, la réflexion passe par une technique économétrique centrée sur le coefficient de corrélation comme solution de rejet ou d'acceptation d'une idée de projet de création d'entreprise. Faisant suite à cette étude de marché, l'auteur évoque au passage la nécessité de la segmentation de la population par l'élaboration d'un questionnaire, les relations avec les banques, l'élaboration d'un business plan comme préalable à la création d'entreprise, à la gestion des projets et au financement des projets de création d'entreprise.
Cet aide-mémoire clair et synthétique vous permettra d'assimiler toutes les notions indispensables de la communication digitale :les spécificités d'Internet comme environnement de communication à 360° ;la variété des supports de communication digitaux (sites Web, réseaux sociaux, applications...) ;les enjeux liés au développement du mobile (communication contextuelle, responsive webdesign...) ;les outils, les métiers, les acteurs et les méthodes associés au développement de projets de communication digitale (UX design, gestion de projet, tendances de création...).Cet ouvrage doit permettre de comprendre l'impact du digital sur la conception des stratégies de communication des organisations (entreprises, marques, ONG, acteurs publics).
Des exemples récents et variés ainsi que des cas pratiques mettent en lumière différentes approches concrètes de la communication en ligne : présence sur les réseaux sociaux, utilisation de la vidéo, contenus de marque, etc.
Le petit écho de la mode
Ce livre retrace avec clarté le parcours du créateur d'entreprise : importance de la collaboration professionnelle et nécessité de consulter sans complexe les experts, les notaires, les avocats, tout en ayant les éléments de base pouvant favoriser le dialogue et, partant, la réduction de la marge d'escroquerie d'idées. Il insiste également sur la notion anglo-saxonne du timing et se termine sur une synthèse relative, qu'on qualifie de business plan, indispensable pour discuter.
Délocalisations, désindustrialisation, suppressions d'emploi.
Autant de maux généralement associés à la mondialisation.
Dès lors, de nombreuses voix réclament de nouvelles règles pour une mondialisation différente. Pour les tenants du modèle économique actuel, la mondialisation fonctionne convenablement, et y renoncer pour un autre modèle pourrait nous conduire vers des crises bien plus graves que celles que nous traversons actuellement. En permettant à chaque position de s'exprimer, cet ouvrage apporte au lecteur les points de repère essentiels à la compréhension de l'économie mondiale et des enjeux que représente la mondialisation pour aujourd'hui et pour demain.