Christophe est un homme à femmes. Blondes, brunes, rousses, il les aime toutes. Pour lui, ce sont des poupées qui se plient de bon gré à ses envies sexuelles, conquises par son bagout. Il les a toutes, même si tout ne se passe pas toujours comme prévu, et si sa femme décide de le quitter quand elle découvre qu'il la trahit. Il se remet toujours, et poursuit sa quête effrénée. Un jour, pourtant, de retour d'une course (il est chauffeur de taxi) il recueille sous une pluie battante une magnifique blonde qui vient d'avoir un accident. Elle le subjugue par sa beauté sophistiquée, et il conçoit bientôt une passion dévorante pour elle. Elle a pourtant tendance à se dérober. Les apparences sont parfois trompeuses, et Christophe découvre bien vite le noeud de l'affaire...
Le témoignage saisissant d'une adepte du sexe extrême !
Jeune femme de bonne famille, nymphomane et bisexuelle, Caroline croyait avoir fait le tour de la question. Et voilà qu'un jour, alors qu'elle traquait une proie féminine, celle-ci est victime devant elle d'une envie pressante. Ce qui se passe ensuite va modifier à jamais la vie sexuelle de Caroline. Elle va découvrir les joies de la souillure... Et plonger dans un univers noir dont elle n'imaginait même pas l'existence.
Poursuivant sa quête de plaisirs anormaux, Frédéric Mancini a recueilli la confession de la narratrice (qui préfère, on devine pourquoi, conserver l'anonymat).
Quel homme n´a jamais regardé les fesses d´une fille qui passait dans la rue ? Pour Richard, pourtant, ce travers purement masculin prend très tôt la dimension d´une obsession, qu´il assouvira sa vie durant avec nombre de filles complaisantes. Callipyges de toutes races n´ont pas fini de lui offrir leurs rondeurs arrière...
Savez-vous ce qu'est le dogging ? Supposez qu?une voix féminine vous invite sur votre portable à vous rendre en pleine nuit sur le parking d?un supermarché... Est-ce une plaisanterie ? A tout hasard, vous y allez. Quand vous arrivez, une dizaine de voitures, phares allumés, en entourent une dans laquelle une femme se déshabille...
Frédéric Mancini, l'auteur de ce récit, aime se promener la nuit dans les quartiers isolés. C'est au cours d'une de ses déambulations qu'il a rencontré les adeptes du dogging ? et qu'il est devenu la proie des singulières filles d'Eve qui pratiquent ce nouveau jeu érotique.
Diva des podiums, Joana était l´un des top-modèles les plus adulés et les mieux payés du monde de la mode. Ses caprices défrayaient régulièrement la chronique, et elle se croyait tout permis. Raison pour laquelle elle se laissa aller jusqu´à frapper un jour avec violence l´une de ses employées ; laquelle porta plainte et notre héroïne se vit condamnée à des heures de travail d´intérêt général dans une entreprise de nettoyage...
Laissez-moi vous dire qu´elle n´a pas fini d´en voir !
Frédéric Mancini, que nos lecteurs connaissent bien, s´est inspiré pour ce récit des confidences d´une de ses amies... dont il a quand même épicé généreusement les propos. Personne ne s´en plaindra...
Priscilla menait une vie désespérément morne en poursuivant mollement ses études. Et voilà qu'elle rencontre Lucile, une " bi ", comme on dit maintenant, qui après moult jeux saphiques, l'entraîne un soir dans le sous-sol d'une insolite boîte de nuit. Et là, elle va faire une découverte qui bouleversera toute son existence : il y des trous dans les murs de certaines cabines, et devinez à quoi servent ces trous ? Frédéric Mancini, dont nous avons déjà lu Dogging et Chaudes Beurettes, est curieux de tout ce qui dans la sexualité actuelle sort des sentiers battus ; il était donc logique qu'il s'intéresse au récit de Priscilla dont il a rédigé pour vous la " confession ".
Jeune étudiante en école de commerce, Marina part à San Francisco pour suivre des cours et améliorer son anglais. Sur le campus, après moult aventures libertines, elle tombe sous la coupe de Kim, lubrique quadragénaire qui l'initie au fétichisme botté. A son retour en France, métamorphosée par cette aventure, Marina va devenir elle-même le « fantasme » de nombreux fétichistes des bottes.
C'est au cours d'une soirée fétichiste que Frédéric Mancini (auteur de Dogging, dans la même collection) a rencontré Marina. Il s'est contenté d'écrire ce qu'elle lui a confié.
Jeune femme de bonne famille, nymphomane et bisexuelle, Caroline croyait avoir fait le tour de la question. Et voilà qu´un jour, alors qu´elle traquait une proie féminine, celle-ci est victime devant elle d´une envie pressante. Ce qui se passe ensuite va modifier à jamais la vie sexuelle de Caroline. Elle va découvrir les joies de la souillure... Et plonger dans un univers noir dont elle n´imaginait même pas l´existence.
Poursuivant sa quête de plaisirs anormaux, Frédéric Mancini a recueilli la confession de la narratrice (qui préfère, on devine pourquoi, conserver l´anonymat).
Blandine devient assistante de Stanis, guide de chasse au nord-Cameroun. Là, parmi les clients des safaris, elle découvre une faune humaine au moins aussi pittoresque que la faune animale : femmes imprévisibles, fonctionnaires internationaux, photographes de mode... qui pensent plus à s'envoyer en l'air, chacun selon ses fantasmes, qu'à chasser l'antilope. Sans oublier le père Théo, moine illuminé qui l'initie à la baise mystique au coeur de la savane africaine...
Corinne, petite vicieuse de dix-neuf ans, vit aux crochets de sa mère, une grosse vicieuse de trente-six ans qui a donné le « bon exemple » à sa fille. Quand la mère reçoit un amant, la fille assiste en cachette aux ébats. Elle aimerait être à la place de sa mère qui quand elle jouit ne fait pas semblant, mais aussi à la place de celui qui sait faire crier sa mère. Comment s´étonner que, dans ces conditions, Corinne soit autant attirée par les hommes que par les femmes ? Et qu´elle ait le don de les faire, tous et toutes, sortir de leurs gonds ?
Et comme le hasard fait bien les choses, voici que Corinne, mise en demeure de trouver du travail, va se faire embaucher dans l´endroit le plus lubrique et le plus « crade » de la ville : la « déchetterie ». Et là, la sarabande sexuelle qui va l´emporter ne connaîtra aucun frein. Les ouvriers, parmi lesquels des Noirs bien bâtis, trient les ordures dans la décharge à ciel ouvert, et pour se consoler de leur travail ingrat, ils s´envoient tout jupon qui passe à leur portée.
Après avoir subi son baptême du vice nue sur le capot d´une voiture, puis dans les toilettes d´une boîte de nuit, on la retrouve bientôt écartelée sur la table d´une cabane de chantier en compagnie d´un solide éboueur à la braguette ouverte. Ce n´est qu´un début. Un peu plus tard, à la sortie de sa cabine de douche, elle est attendue par un comité d´accueil en rut. Et ce qu´elle fera en groupe dans une baignoire ne peut - ni décemment ni indécemment - se raconter au dos d´un livre, fût-il le plus porno du monde.
En suivant cette dévergondée de Corinne, le lecteur finit par se poser la question : jusqu´où peut aller le stupre ? Jusqu´à l´ordure ? Et pourquoi pas ? Si vous êtes délicat, abstenez-vous de lire ce livre ! Sinon, plongez gaiement dans le cloaque ! Qui est, d´après le Robert, chez certains animaux, l´orifice commun des cavités intestinale, urinaire et génitale. CQFD.