A highly anticipated cultural event: the first definitive biography of one of the most beloved and mysterious figures in American history.
Depuis le mentir-vrai d'Aragon, on sait que l'important dans le roman n'est pas le vrai, mais le réel.
Sous forme d'une promenade en littérature composée de citations courtes, d'aphorismes et de lumineuses réflexions, ce petit livre très accessible, devenu en cinq ans la réflexion littéraire la plus débattue dans le monde et un véritable succès commercial, nous montre comment, à l'ère de la téléréalité comme auto représentation sociale, la question du réel est au centre d'une société d'autant plus hantée par la réalité qu'elle l'expérimente de moins en moins par elle-même.
Usant de sources nombreuses dans toutes les époques et particulièrement dans les classiques français, Avide de réel repense brillamment la création littéraire à l'aune de la question du réel et de sa représentation, centrale pour comprendre la littérature contemporaine.
Une question au centre des choix éditoriaux du Diable vauvert.
« Le livre de David Shields nous dit qui nous sommes, pourquoi nous lisons, pourquoi les choses que nous lisons existent et quelle direction elles risquent de prendre demain. » Albert Goldbarth
Reality Hunger questions every assumption we ever made about art, the novel, journalism, poetry, film, TV, rap, stand-up, graffiti, sampling, plagiarism, writing, and reading. In seeking to tear up the old culture in search of something new and more authentic, it is the most vital book of the new century.
Mesmerized and somewhat unnerved by his 97-year-old father's vitality and optimism, David Shields undertakes an original investigation of our flesh-and-blood existence, our mortal being.
Weaving together personal anecdote, biological fact, philosophical doubt, cultural criticism, and the wisdom of an eclectic range of writers and thinkers - from Lucretius to Woody Allen - Shields expertly renders both a hilarious family portrait and a truly resonant meditation on mortality.
'Shields is a sharp-eyed, self-deprecating, at times hilarious writer' Wall Street Journal