Ce récit évoque une période de l'histoire mexicaine du XIXe siècle, celle de l'Empire austro-français, représenté par l'empereur Maximilien qui fut intronisé grâce au parti conservateur mexicain et le soutien en France de Napoléon III. Le règne de Maximilien fut court et chaotique et se termina tragiquement par son exécution. Durant son règne, il résida dans la banlieue proche de Mexico, au palais d'été de Chapultepec, qui vit ainsi s'installer, croître, embellir et finalement s'effondrer le pouvoir du malheureux empereur.
Ils ont donné deux reines à la France, deux papes à la Chrétienté... et Florence leur doit ses heures les plus glorieuses. Princes prodigieusement populaires, riches et puissants, grands mécènes, les Médicis ont durablement marqué leur temps.
Depuis l'avènement de Côme l'Ancien, le « Père de la patrie », au début du XVe siècle, jusqu'à l'extinction de la lignée avec la mort de Jean-Gaston en 1737, leur histoire n'est que révoltes, exils, assassinats, trahisons, jeux de pouvoirs et amours violentes...
Digne des meilleurs romans, elle inspire la verve de l'historien Dumas. Et l'histoire selon Dumas est une histoire où le sang coule, des complots se trament, des têtes tombent...
"Après avoir fait plus de 600 000 vues sur YouTube et obtenu 15 000 likes sur sa page Facebook : Effet Dumas - énergie libre, voici le livre, qui est le fruit de la rencontre entre l'inventeur d'un procédé révolutionnaire (Jean-Christophe Dumas) et d'une ardente défenseure des énergies renouvelables (Nathalie Nguyen).
L'effet Dumas raconte la découverte d'un procédé capable de générer, à l'aide d'un courant électrique, plus d'énergie qu'il n'en consomme et de provoquer des bulles de cavitation instantanément. Son auteur nous entraîne avec lui, en décrivant le parcours fulgurant de cette invention, autant médiatisée que controversée par les journalistes et les scientifiques. Il nous livre sans concession sa vérité à ce sujet, avec preuves à l'appui afin de vulgariser et de confier l'oeuvre de sa vie à l'humanité, dans l'espoir qu'un jour, elle sera la clef qui la délivrera de son asservissement au système impitoyable et mortifère dans lequel nous vivons."
Le Mendiant est une histoire vraie. L'auteur a glissé une pièce dans la main d'un mendiant à la sortie d'une église en Bavière. De retour dans son pays, il n'a pu chassé l'image du mendiant de ses pensées. Il a décidé alors de le retrouver... Un livre sur la charité dans son sens le plus humble.
Des mémentos complets, pratiques et intelligents pour apprendre, réviser et retrouver facilement tous les résultats fondamentaux. L'essentiel de chaque notion fait l'objet d'une fiche, et un index détaillé permet d'accéder immédiatement à l'information recherchée.
Madame LAFARGE
Présenté et annoté par Claude Schopp
Qu'une femme empoisonne son mari, quoi de plus banal, au fond ? Les mobiles ne manquent jamais. Pourtant, lorsque Marie Cappelle est accusée en 1840 d'avoir empoisonné à l'arsenic Charles Pouch-Lafarge, épousé quelques mois plus tôt, la France se passionne, se coupe en deux : d'un côté, les croyants qui n'ont aucun doute sur son innocence ; de l'autre, les incroyants, persuadés de sa culpabilité. Les journaux multiplient les courriers extraordinaires afin que leurs lecteurs puissent vivre presque en direct le procès qui se déroule à Tulle, devenu pendant quelques jours le coeur battant de la France. Depuis Balzac qui expliquait son crime par « les indiscrétions continuelles que subissait la femme du monde », l'ombre de Madame Lafarge garde une puissance singulière sur les imaginations qu'elle fascine.
L'un des textes qui lui ont été consacrés a été signé d'un nom prestigieux : Alexandre Dumas. Il n'a pourtant jamais été publié en volume et n'a été imprimé qu'en feuilleton dans Le Mousquetaire (1866).
Au déclin de sa vie et de sa carrière, Dumas tente, en empruntant largement aux écrits autobiographiques (Mémoires, Heures de prison) de Mme Lafarge qu'il avait croisée enfant puis jeune fille, sinon d'innocenter, du moins d'excuser l'acte de cette femme qui n'avait peut-être pas reculé devant le crime. C'est donc un inédit qui paraît aujourd'hui où l'on retrouve toute l'énergie et la verve du grand écrivain.
Lorsqu'il a découvert Le Chevalier de Sainte-Hermine, l'oeuvre inachevée d'Alexandre Dumas, dans les feuilletons du Moniteur Universel, et qu'il a plus tard acquis une lettre autographe de Dumas traçant pour le directeur du journal le plan qu'il entendait suivre, Claude Schopp n'a eu de cesse, bien avant le succès de ce même Chevalier chez Phébus, d'écrire la suite et la fin des aventures d'Hector. C'est donc ici que nous retrouvons notre héros, l'ancien comploteur royaliste, dernier héritier d'une vengeance familiale, qui va peu à peu se rallier à Napoléon Bonaparte, parce qu'il reconnaît dans l'Empereur l'instrument aveugle de la Providence, tyran conduisant l'humanité vers la liberté...
On ne présente plus Alexandre Dumas, quant à Claude Schopp, éminent spécialiste du même Dumas, c'est à lui que l'on doit d'avoir sorti de l'oubli, non seulement Le Chevalier de Sainte-Hermine, mais également les Vingt-quatre heures d'une femme sensible de Constance de Salm.
Un jeune gascon, du nom de d'Artagnan, vient chercher fortune à Paris. L'action se déroule en 1625, sous le règne de Louis XIII. Courageux et rusé, d'Artagnan part, muni d'une lettre de recommandation de son père pour M. de Tréville, commandant des Mousquetaires. Très vite, d'Artagnan se lie d'amitié avec les trois fidèles mousquetaires du roi : Athos, Portos et Aramis. Quelques jours plus tard, la reine Anne d'Autriche leur confie la mission de lui rapporter de Londres des ferrets qu'elle a offerts, de façon très compromettante, au duc de Buckingham. D'Artagnan va se retrouver aux prises avec la redoutable Milady de Winter. Poursuivis par les gardes de Richelieu, au terme d'un parcours semé d'embûches, d'Artagnan et les mousquetaires réussiront-ils à sauver l'honneur de la reine oe
Si vous n'avez jamais pesté contre les services administratifs, c'est que vous n'avez jamais eu affaire à eux ou que vous maîtrisez parfaitement l'art de rester calme, serein et déterminé en toutes circonstances. A travers ce témoignage, l'auteur nous entraîne dans cet univers kafkaïen avec lequel il a engagé de multiples échanges épistolaires, pour tenter de faire triompher le réalisme face à la bureaucratie.
On y côtoie des responsables de services, un directeur et son adjoint, des médiateurs, un député, des procureurs de la République, un expert et même - étonnant, non ? - un ministre. La restitution quasi exhaustive des courriers échangés garantit l'authenticité de ces quatre histoires qui, de situations bloquées en rebondissements, cheminent vers un résultat qui, comme dans un véritable thriller, reste incertain jusqu'au dénouement.