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Jean françois Vial
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Le F.C. Sochaux-Montbéliard
Francois Ruffin, Frederic Vial
- FeniXX réédition numérique (La Manufacture)
- Les olympiques
- 8 Janvier 2019
- 9782402651226
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Revenir...
Eric Vial, François Pernot
- Editions De L'Oeil
- La Bibliotheque Fantome
- 30 Janvier 2019
- 9782351372579
"Le migrant, son arrivée, son installation interpellent les Sciences sociales et les politiques publiques, mais aussi les Littératures et les Arts, avec en premier lieu la figure de l'exilé. Mais le retour est moins souvent envisagé, alors qu'il est dans les esprits, qu'il puisse ou non devenir réalité. Que le migrant soit parti avec l'idée de ne jamais revenir ou au contraire avec l'espoir de revenir un jour quand la situation politique, économique, sociale du pays de départ sera meilleure, ou lorsque la peine de déportation ou la sentence d'exil aura été levée, la question du « retour » est rarement étudiée en tant que telle... Le retour peut aussi être contraint - l'expulsion - et donc vécu comme une seconde migration, celle-là non désirée, un déchirement et une plongée dans un inconnu anxiogène. Mais le retour peut aussi être rêvé, attendu comme un futur idyllique et, réel ou symbolique, avéré ou fantasmé, il est parfois mis en scène comme une arme politique, voire lié à une vengeance, ou au contraire se faire avec le moins de publicité possible comme dans un souhait de retour à la « normalité » d'avant l'exil. L'Histoire est riche de ces moments de retour et des formes qui méritent d'être interrogées d'abord pour constituer une palette de cas, entre faits et représentations.
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L'homo americanus
François Pernot, Claire Bourhis-mariotti, Eric Vial
- Editions De L'Oeil
- 30 Janvier 2020
- 9782351372821
À la découverte de l'Homo americanus dans l'Histoire...
Si l'on entend par « Homo americanus » et « Américain » l'habitant de l'Amérique du Nord, et notamment des États-Unis, nombreuses sont les images et surtout les stéréotypes qui viennent immédiatement à l'esprit des Européens et des autres, bref de tous ceux qui ne sont pas américains : l'Américain est bruyant, il s'habille en jean et porte sa casquette de baseball favorite ou un chapeau de cowboy, écoute de la musique country, pense que le football américain est le meilleur sport du monde et se demande ce qu'est le « soccer », mange son Big Mac au McDonald's et boit son café chez Starbucks, possède des armes, ne parle qu'anglais et quand il voyage pense que tout le monde parle anglais couramment, continue à penser que les communistes veulent envahir les États-Unis, est toujours pressé ou au contraire étrangement décontracté, ne parle que d'argent et pense que les Américains sont ou devraient être les rois du monde ou du moins que le monde tourne autour des États-Unis. Au-delà de ces clichés largement outrés, quelle image « l'Américain » a-t-il réellement renvoyée dans l'Histoire et renvoie-t-il aujourd'hui ? Y a-t-il eu dans l'Histoire et y a-t-il aujourd'hui une identité, non pas de l'Amérique, mais de l'Américain, et quelle est-elle ?
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Poisons et philtres d'amour
François Pernot, Eric Vial
- Editions De L'Oeil
- 7 Avril 2021
- 9782351373064
« Eusebio : Eh ben, je suggère un truc de bonne femme?! Genre tisane?! Vous savez, la mauvaise santé par les plantes.
Boris : Oh, c'est un peu triste, non?! J'aimerais mieux quelque chose de... de plus enlevé, de plus allègre?! » Les Barbouzes, Georges Lautner (1964), dialogues de Michel Audiard.
Inspiré par une iconographie forte (La Mort de Socrate de David, Médée de Sandys...), cet autre voyage avec les plantes, à travers le temps (de l'Antiquité à nos jours) et les disciplines (car l'affaire va de la botanique à l'histoire, en passant par la littérature, la médecine ou la criminologie), joue sur les contrastes : réalité et représentations, fantasmes et pratiques, empoisonneu(r/se)s et victimes... Le poison, omniprésent dans la nature, n'est-il pas en effet l'envers du remède - voire l'antidote??
Les poisons et philtres d'amour, si possible végétaux mais il n'a pas été interdit de s'affranchir de ce point de départ, sont envisagés sous tous les angles possibles, réalités et représentations, empoisonneurs (et empoisonneuses) et victimes, phantasmes et pratiques, les cas étudiés et présentés, à toutes échelles, s'inscrivant dans l'arc chronologique le plus large possible, car le poison remonte à la plus haute antiquité comme l'eut dit Alexandre Vialatte, et l'usage récent de substances toxiques par divers services secrets rappelle qu'ils sont toujours d'actualité, tout comme les philtres, magiques ou énergisants, fort anciens mais dont certains spams, ou publicités de marabouts, confirment la continuité.
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à quel(s) saint(s) se vouer ?
François Pernot, Eric Vial
- Editions De L'Oeil
- La Bibliotheque Fantome
- 6 Janvier 2023
- 9782351373323
Peut-être par esprit malin, nous avons emprunté le titre de notre journée à l'expression populaire « À quel(s) saint(s) se vouer ? », ceci entre considération du nombre de saints spécialisés et parfois équivalents des saints dans le cadre de religions civiques ou politiques, etc. La multiplicité des saints dans (ou « au sein de ») la catholicité serait à l'origine de l'expression, au XVIe siècle, et en ces temps d'épidémie où on a parfois vu écrit « porteurs saints », intéressant lapsus, on pourra se rappeler de Louis, Roch ou Sébastien invoqués face à la peste comme... Jude, Lazare ou Sylvain face à la lèpre concurrents, existence de saints fantaisistes, conceptions différentes de ce qui peut être appelé sainteté selon les différentes religions, et Grégoire (le Grand), Côme ou Damien (séparément) en cas de maux d'estomac, quitte à dévier en rappelant des cumuls de fonction, comme pour sainte Rita patronne des étudiants qu'enseignants et chercheurs ont en général été, et patronne des cas désespérés ce que l'on ne commentera pas.
On évitera peut-être également d'ajouter Glinglin, Frusquin, ou Phorien, deux fois saint dit-on, mais on pourra se rappeler de Guinefort, le saint Lévrier dont Jean-Claude Schmitt retraça l'histoire voici quatre décennies, et s'interroger sur des canonisations populaires étonnantes, éventuellement mal vues de l'Église catholique. -
« Services », renseignements, « grandes oreilles », de l'Antiquité au XXIe siècle : légendes et réalités
François Pernot, Eric Vial, Collectif
- Editions De L'Oeil
- 1 Novembre 2017
- 9782351372395
Agents de renseignement, informateurs, agents de terrain, officiers traitants, analystes... Ils sont le premier maillon, le maillon indispensable à toute stratégie politique et militaire d'un État, d'un gouvernement, d'un régime, d'une société. Car, en temps de guerre comme de paix, il ne suffit pas d'être le plus fort pour obtenir la victoire ou le leadership sur une région du globe, voire le monde entier. Il faut aussi être bien informé pour prendre la bonne décision. Suivre de près les crises internationales, savoir ce que disent, ce que pensent, ce que veulent, ce que vont faire ou que font déjà ses ennemis, évaluer leurs forces et leurs faiblesses, analyser le risque que l'Autre représente, lutter contre ses menaces, se protéger contre toutes ses manoeuvres d'ingérence, voire l'intoxiquer en diffusant de fausses informations... Mais, quelles que soient la période historique et les évolutions technologiques, les bases, les règles, les principes du renseignement semblent bien les mêmes : de la Mésopotamie de Sargon à l'Amérique du XXIe siècle en passant par la République romaine, ce n'est pas la technologie qui a fait le bon stratège, c'est d'abord l'intelligence.